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Recherche par auteur : Hwang, Sok-Yong

3 résultats.

Lu par:Manon
Durée:11h. 31min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:31679
Résumé: Lu par Manon Cette saga interroge la prostitution institutionnelle à travers le parcours de Shim Chong, jeune paysanne coréenne vendue à des Chinois au XIXe siècle. De la prostitution sordide à la courtisanerie des geishas, elle apprend les rites dédiés aux castes de prostituées et comment s'en échapper.
Lu par:LEGRAND Julie
Durée:12h. 28min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24238
Résumé: Nous sommes à la fin du XIXème siècle. En ces temps de disette et de corruption, la traite des enfants est un commerce qui alimente un immense trafic mafieux dans toute l'Asie du sud-est. Shim Chong n'échappe pas à la règle: vendue adolescente, elle va connaître tous les aléas d'un négoce sexuel florissant, des rives du fleuve Jaune aux ports de Shanghai, Taiwan pu Singapour, de la prostitution la plus sordide à la haute courtisanerie des geishas. Le parcours initiatique de la jeune Shim Chong s'inscrit de façon magistrale dans une impressionnante saga de la prostitution et des métiers de la séduction à une période charnière où l'Asie, sur fond de guerre de l'opium et de trafic d'armes, s'ouvre aux impérialismes occidentaux. En romancier au souffle épique, fort d'un engagement qui l'apparente aux Zola, Dos Passos ou Soljenitsyne, avec sa vision aigüe du mouvement de l'Histoire, Hwang Sok-yong nous livre une somptueuse fresque romanesque.
Durée:5h. 1min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32677
Résumé: Gros-Yeux a quatorze ans lorsqu'il arrive avec sa mère dans l'immense décharge à ciel ouvert de Séoul. Là vivent pas moins de deux mille foyers, dans des cahutes accrochées au flanc de la montagne d'ordures, en une société fortement hiérarchisée dont le moindre aspect - travail, vêtements, nourriture, logement - provient des rebuts du monde extérieur. Gros-Yeux se lie d'amitié avec un garçon disgracié, un peu simple d'esprit, qui lui fait découvrir les anciens habitants du site, ou plutôt leurs esprits bienveillants, lorsque l'île de la décharge était encore une terre vouée aux cultures agricoles et aux cultes chamaniques. Car ce sont les êtres démunis, abandonnés des hommes, enfants, marginaux, infirmes, qui entretiennent la mémoire de ce qui n'est plus, l'étincelle du vivant là où tout se périme et se corrompt. Ils communiquent avec l'invisible, un monde où tout respire et vit ensemble. Hwang Sok-yong ne donne pas de leçons, non, il donne à voir. Des images se lèvent et ne nous quittent plus. A l'opposé d'une logique marchande où les choses sont destinées à une rapide destruction, ces images nées du pouvoir des mots ne s'altèrent pas, continuent à briller dans notre imaginaire.